Dans une première partie, le film montre les méthodes de prospection et de prise d'échantillons, ensuite le creusement et l'extraction de minerai soit dans le lit des fleuves, soit dans les mines en plein air, soit dans les mines souterraines. Les minerais sont ensuite transportés par wagonnets à l'usine où ils sont lavés et triés. Le film insiste sur le fait que toutes les opérations, sauf la supervision, sont effectuées par des ouvriers noirs, et que des mesures sont prises pour mécaniser au maximum, ainsi que pour éviter la silicose. Une deuxième partie est consacrée aux équipements sociaux de Kilo-Moto : dispensaire, hôpital, laboratoire de recherche, vaccinations massives en vue de la prévention des épidémies. L'entreprise possède son propre bétail, les animaux passent dans des bains désinfectants, et sont sélectionnés pour l'abatage. Des logements modernes sont construits pour la population.On enseigne des matières techniques mais aussi artistiques. Les missionnaires participent à la tâche. Une troisième partie a trait au minerai. Le lavage et triage nécessitent une grande quantité d'eau : il faut l'acheminer sur place via des canaux et des barrages. Une dernière partie concerne l'or : les dernières opérations ont pour but d'obtenir de la poudre et permettre la fusion des lingots. Le commentaire de ce film est d'époque !!!
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- Type de ressource
- Documentaire
- Date de création
- 1950
- Auteurs, contributeurs et éditeurs
- Dubois, D.. Scénariste
- Dubois, D.. Caméra
- Vandendries, Pierre. Voix parlée
- Dubois, D.. Réalisateur
- Thèmes
- Cinéma, Enregistrement vidéo, Film, Documentaire, Industrie, Conditions de travail, Conditions de vie, Mission religieuse, Travail, Minerai, Métal, Métal précieux, Or, Mine, Transport, Transport de marchandises, Maladie professionnelle, Colonialisme, Afrique, Afrique centrale, Congo belge, Toute une époque
- Identifiant de l'objet
AVC-CIN-F1239
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